Arwoor

A Videllel :

Dans la lumière d'un soleil qui se couche, faisant arriver doucement une lueur rougeâtre, tu reconnais, en te rapprochant la tête d'un de tes seconds : Kelgar.

Le soir approchant doucement des petit feux sont allumés sur la plage, pendant que certain vont chercher de quoi se nourrir dans la forêt.

A Merenya :

La Dryade : - "Tu viens avec nous nous aider à chercher les fruits pour ce soir ?"

A Merenya :

La Dryade : - "D'accord, comme tu veux. A tout à l'heure", dit-elle en te faisant un petit signe de la main.

Face à ces femmes d'une beauté irréelle, je perd toute notion de temps, d'espace, c'est le vide, je ne vois qu'elles. Mes mains ne tiennent plus mon épée avec autant de détermination.
* Waho jamais je n'ai vu d'aussi belles femmes *
Leur beauté ne me fais réagir jusqu'à ce que l'une d'entre elle prennet la parole.

-"yuib yv iktfv ybfg, tfrvb tyfbyyd ?"

Ce que j'entend me fais réagir mais je ne comprend pas un mot. Je continus de les regarder.
- "Que dis tu ?"
Je m'approche doucement et prend l'une d'entre par les hanches

A Tapion :

Elle s'extrait avec une intrigante agilité d'entre tes main, te donnant une claque sur ces dernières. Elle gloussent toutes les deux avec un sourire taquin. La Dryade de gauche : - "yb bvyrfb fu.", avec un petit mouvement de la main droite, l'index levé dans un signe de négation. Elles te prenne toutes les deux par les mains et te font signe de les suivre avec un petit air coquin.

Tes sens ne te joues pas de tour, c'est une invitation crapuleuse avec deux créatures de rêve entièrement nues...

A Merenya :

Depuis que tu est sur cette plage, tu n'as vu aucune trace de viande, mais si tes souvenirs sont bon, l'une des Dryades t'as parler d'animaux sauvages plus dans la forêt. Mais cette dernière t'es inconnue et il semble difficile d'y progresser, surtout avec tes ailes.

Alors que je tenais cette déesse par la hanche s'elle ci s'extirpe avec une facilité qui me suprend
* je n'es rien sentis et pourtant je ne la tiens plus *
Leurs rires me procure un bonheur et une envie immense de les prendres dans mes bras, malgré le signe de négation de l'une d'elle.

- "yb bvyrfb fu."

* encore, mais qu'est ce qu'elle dis *
Malgré le barrage de la langue je comprend par leurs gestes que c'est deux beauté m'invite.* Je ne pensais pas trouver de femme aussi belle en ce monde mais là deux d'un seul coup c'est trop beau *
Je les suis avec une joie immense
* finalement ce peuple est fort simpathique *

A Merenya :

A qui demande tu ça ? (Quelle personne si tu as un nom ou quelle race et/ou quel sexe).

A Tapion :

Elles semblent t'emmener vers l'orée de la forêt, en te caressant, te chantant des chansons, ...

A Videllel :

Tu vois ton compagnon partir avec 2 Dryades, sans montrer de signes de résistances, vers l'orée de la forêt.

Vu que tu connais mieux les Zébrille, c'est vers un de ceux là que tu te dirige.

Zébrille : - "Que puis-je pour toi ?"

A Merenya :

Quand tu parle de viande, il fronce les sourcils, - "Viande ? Je connais pas désolé, décris le moi et je verrai si on en a".

Le Zébrille : - " Manger des animaux ? Faire s'éteindre une créature inoffensive pour survivre ? Pourquoi ? Alors que des fruits et des racines suffisent ! Regarde moi, je fais deux fois ta taille et pourtant des fruits me suffisent. Toi, tu n'as pas gouté aux fruits d'ici, ni à notre eau. Tout les étrangers passé par ici on sentit la différence par rapport à chez eux, mais je crois qu'on ne trouve ça qu'ici."

Aux deux Barbes Rouges :

Les deux Dryades vous prennent chacun par la main, et vous invite du doigt à les suivre. Visiblement, vous écouter discuter dans une langue qu'elles ne comprennent pas les ennuis et elles préfèreraient passer à l'action.

A Mérenya :

Le zébrille : - "Calme toi ! Je n'irai pas éteindre un animal pour toi. Si tu veux un animal éteint à manger, va le faire toi même et hors de nos yeux. Mais sache tout de même que si tu vas trop profondément dans la forêt, les animaux y sont plus dangereux et se nourrissent comme toi."